Acheter lady ère 96

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Courtship and Marriage La recherche d'un mari dans Regency Angleterre était une entreprise et les classes supérieures graves familles investies d'importantes sommes d'argent pour donner à leurs filles une «saison» à Londres. Une femme seules avait pas d'occupation autre que de trouver un mari, mais en aucun doit-elle signaler que tel était son but. Il était le seul homme voulant une femme qui doit faire le travail de courtiser et gagner selon un code de conduite strict. Le code protégé la réputation de la femme, mais aussi empêché l'homme de devenir piégé contre sa volonté. Les interdictions posées sur les célibataires étaient nombreux. Avant un engagement, les couples ne pouvaient converser en privé ou être seul dans une chambre, voyager sans chaperon dans une voiture, appeler les uns des autres par leurs prénoms, correspondent avec ou donnent des cadeaux les uns aux autres, danser plus de deux ensembles ensemble sur toute la soirée ou le toucher intimement - et qui comprenait des poignées de main. Salutation et laisser prenant ont été reconnus avec un léger salut de la tête ou curtsy. Ainsi, dans une période où la bienséance était si strictement policée, comment avez-cour jamais progresser? Les voies et moyens existaient pour les jeunes hommes et les femmes d'interagir et d'échanger des sourires, des soupirs et devenir rougit. balles privées et assemblées publiques étaient des occasions idéales pour les couples de se réunir. mains gantées pourraient se tenir brièvement au cours de la danse et tout en marchant vers et à partir d'un ensemble. Sous la supervision vigilante de leurs aînés, les jeunes et les personnes seules pourraient lever les uns avec les autres, de démontrer leur grâce, leur capacité à converser intelligemment et leur compatibilité. De la même façon les partenaires intéressés pourraient mieux connaître les promenades chaperonné dans la campagne, tombant derrière le reste de la partie si l'on voulait parler en privé. Quand un monsieur était certain que ses sentiments étaient réciproques, il demanderait la permission des parents de la dame de payer ses adresses. Un cadre convenablement privé pour la proposition pourrait alors être organisé. Le plus souvent, il serait répondu positivement car elle était très mauvaise forme pour une dame d'encourager un attachement qu'elle ne pouvait pas revenir. Parfois, une proposition malvenue pourrait être faite en dépit de son manque d'encouragement, puis la dame aurait à tourner son soupirant vers le bas, mais toujours avec la sensibilité aux sentiments de l'homme. Une fois qu'une proposition a été acceptée et le consentement parental a été obtenu, de rompre un engagement a été considéré comme très grave. Un engagement a été considéré comme un contrat. Un homme a été strictement interdit de rompre un engagement, une fois accepté et une dame ne pouvait changer d'avis après un examen attentif. Il y avait des règles strictes qui régissent le mariage. Afin de se marier légalement, un couple avait besoin d'une licence et la lecture des bans. Ils ont également requis le consentement des parents si l'un d'entre eux étaient âgés de moins de 21 ans et la cérémonie devait être menée dans une église ou une chapelle par le clergé autorisés. La seule façon de contourner ce fut elopement à Gretna Green en Ecosse ou si vous étiez extrêmement riche, l'achat d'un «permis spécial» délivré par l'archevêque de Canterbury qui a permis au couple de se marier à un endroit autre qu'une église. Inutile de dire, que ce soit bien sûr de l'action était susceptible de créer des ragots intense et souvent désagréable. Au cours de la Régence, les mariages étaient des affaires, principalement privées et même des mariages à la mode ont été peu présents. Ils étaient certainement pas les énormes affaires que nous connaissons aujourd'hui ou qui est devenu plus répandu à l'époque victorienne. La mariée peut parfois porter du blanc, mais il n'a pas été considéré comme obligatoire. Une robe de couleur ne signifiait pas le manque de pudeur, mais était tout simplement une préférence personnelle.